dimanche 26 janvier 2014

Poème de Karthikeyan

                                                 La porte fermée

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas
Avec un simple bout de bois

 De Maurice Carême

Poème par Anuvrinda




                    Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil de la montagne fière,
Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit

 - Arthur RIMBAUD  




POÈME DE BADMAVASAN

La porte fermée

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge.

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre.

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas
Avec un simple bout de bois.
                                                                                      MAURICE CARÊME 






Poème de Nila

                                                 La porte fermée

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas
Avec un simple bout de bois


                                                                                                                           De Maurice Carème

Poème d'Aditya

La porte fermée

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas
Avec un simple bout de bois

-Maurice Carême

ADITYA

La porte ferme par Maurice carême, Baburaj


                                               La porte fermée                              

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas
Avec un simple bout de bois
                                                    Ajith

Poème par Ravi

Le dormeur du val


C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons

D'argent ; où le soleil de la montagne fière,

Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme 
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 
    
                                      
                                                                                      Arthur Rimbaud

Poème par Chandru.

                                                 La porte fermée

Le roi vint pour ouvrir la porte
Avec son sceptre et sa clef d’or,
Le roi vint pour ouvrir la porte.
Il fallut rester dehors.

La reine vint avec l’anneau,
La clef d’argent et son camée
La reine vint avec l’anneau
Mais la porte resta fermée

Puis vint un mage avec sa pie
Ses talismans et sa clef  rouge
Puis vint un mage avec sa pie
Mais aucun des verrous ne bouge

Lors on manda le serrurier
Avec mille clef du monde
Lors on manda le serrurier
La porte ne frémit d’une ombre

Alors, un pauvre homme arriva
Par hasard devant cette porte
Alors, un pauvre homme arriva
Et il  ouvrit sans embrasas                                                                    
Avec un simple bout de bois
De Maurice Carème.





Le dormeur du val


C’est un trou de verdure, où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent; où le soleil, de la montagne fière,
Luit: c’est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme:
Nature, berce-le chaudement: il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Le Dormeur Du Val

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.


Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.



Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.



Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

(Arthur Rimboud, Le Dormeur du val, octobre 1870)



Poème par Ravi Teja.

Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.


Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.


Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.


D'Arthur Rimbaud

ECOUTER LA VERSION AUDIO DE RAVI TEJA

Poème par Vénu.


Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.


Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.


Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.


Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.



Arthur Rimbaud 

Ecouter la version déclamé par Venu





mardi 21 janvier 2014

Poème de Venu

Energie

Electricité, Electricité
Tu es dangereuse pour la vie
Electricité, Electricité
Si tu n’existais pas alors on ne pourrait pas vivre

La lumière, La lumière
Tu es la meilleure de toute ma vie
La lumière, la lumière
Le soleil est ton meilleur ami.

L’eau pure, L’eau pure
Tu es la plus belle dans la nature
L’eau pure, L’eau pure
On a besoin de toi en agriculture.

L’oxygène, L’oxygène
Tu es responsable de nos vies
L’oxygène, L’oxygène
Le feu est ton ennemi

Le feu, le feu
Tu es un ami de l’électricité
Le feu, le feu
Ne pollue pas la diversité !

La terre la terre
Tu es notre amie
La terre la terre
C’est toi qui donne la vie.


                                                                                                                                          Par
                                                                                                                                                Venu




   


Poème de Chandru




Nourriture

On doit manger tous les jours
Mais pas pendant les cours
Nourriture, c'est la vie,
Pour n'importe qui!

Si on mange trop;
On doit boire de l'eau
C'est bon pour la santé
Et tout le monde va monter.

On doit donner à tout le monde
Et on grandira
Sans manger on ne survit pas
Parce qu'on doit manger, c'est cela!!























                                                                                                                                                                                                                                                  Par
                                                                                                                                                   Chandru

Poéme de Babu

                                                 LA NUIT

                    La nuit tombe très vite ,
                   Le  Ciel couvert d’étoiles.
                   Les hiboux vont à la chasse 
                   La lune douce brille la nuit .
 
                                                                                 
                  Les loups hurlent dans la nuit 
                  Nuit , tu nous donnes l’obscurité .
                 Mais tu n’es pas sombre  
                Dors  dors  et bonne nuit !!!!                                           Ajith                   

Poème de Ravi

 PLANÈTE BLEUE

La terre est ronde 
La lune est blonde
Tout le monde est dans cette ronde.

La terre est bleue
Comme tes yeux
Les étoiles brillent autour de toi 
C'est pourquoi je suis tout en joie.
 


                                                                  par: Ravi

Poème de Karthikeyan

La Vie

La vie est comme le jour
La vie est comme la nuit
La vie peut être bien menée
Alors elle brille comme le soleil.
Sinon on peut aussi abuser de la vie,
Alors c'est la nuit où tout va mal.
Mais il y aura une lune
Pour éclairer ton chemin.

                                                                               Karthikeyan


Poème de Raviteja

INCONNU


Il existe mais personne ne l'a vu
jeu célebreIl fait un jeu célèbre
Il existe mais personne ne l'a vu
Il est X en algèbre

Tout le monde le cherche la nuit
Je pense qu'il est furtif
Il est comme une goutte de pluie
Il est un peu créatif

Devinez qui il est ?

                                                                                               


Poème d' Anuvrinda

 Ma mère 


Il y a une personne que j' aime beaucoup.
Sa vie est un paysage qui est bien dessiné.

 Son cœur est en or, c'est une légende où 
Une artiste a peint le monde que vous aimez.

Elle prend les cœurs de façon fantastique,
Et porte toujours la joie dans sa tête encyclopédique.
Elle est comme un talisman qui toujours porte bonheur,
Mais, Jamais elle a reçu d'honneur
Et les gens ne connaissent pas sa valeur.

Elle, c'est ma mère qui est mon monde,
Et qui est ma vie.
Elle est mon guide,

Aujourd'hui, demain et jusqu' à la fin de ma vie.
- Anuvrinda
  

Poème d'Aditya

Le soleil
Le soleil ne s'est pas levé,
Dort chaque jour,
Le soleil ne s'est pas levé,
Et n'a plus sommeil.


Le soleil se lève,
Cache la lune,
Le soleil  se lève,
Masque toutes les étoiles.


Si le soleil est heureux,
Alors la terre sera joyeuse.

-Aditya

Poème de Nila

Mon Arbre

Tu es mon meilleur ami
Tu es majestueux et robuste
Quand j'ètais petite j'ai joué avec toi
A chaque automme tu changes ton manteau de feuilles
Et en été tu te réveilles.
En hiver tu n'as rien mais
Tu es encore beau et
Mon cœur a une place pour toi
que je garderai toujours avec moi.
                                                                                                    _ Nila

Poème de Tejasvi



TON VISAGE

Quand je te vois j’oublie le monde,
Je vais dans un autre endroit.
Tu me rappelles des paysages,
Mais ton visage est plus beau que le paysage.


Quand je vois tes yeux bleus
C’est comme de l’eau qui tombe d’une cascade.
Et tes longs cheveux blonds
Ondulent comme des champs de blé.

Et ton lumineux sourire,
Est plus beau qu’une matinée d’été.
C’est pour cela que je veux te voir tout le temps.


Le plus beau lieu de la terre,
N’est rien devant ta perfection.
Parce que ton visage est plus beau que les paysages.


Par: TEAJSVI












Poème d'Abhilasha

Le Secret De Ma Vie

Il y a quelque chose dans ma vie
Qui porte le meilleur de moi
Ce phénomène magique dans ma vie
Me comble de joie.

C'est mon bonheur
C'est ma tristesse
C'est très proche de mon cœur
Et c'est aussi mon ivresse.

Je sais que vous me demanderez ce que c'est?
Et je dis que c'est complètement magique
C'est comme un don offert par une fée
Ce n'est rien d'autre que la musique.

- Abhilasha Sinha


Poème de Badmavasan


                                Vie

Nous ne savons pas d’où nous venons,
Nous ne savons pas pourquoi nos cœurs battent.
seulement si nous vivons notre vie dans l’amour,
Encore nous serons heureux.

Nous n’avons qu’une seule vie,
Dans la vie, nous devons faire
tout ce que nous voulons,
pour atteindre le bonheur

Dans la vie
Nous devrions faire quelque chose,
pour les générations futures,
alors nous serons heureux.


Kirouchenassamy Badmavasan